top of page



De mes blanches pensées me paraît l’Africaine
Au royaume des couleurs, elle est souveraine.
Non meurtrie par les vagues violentes des mers
Refoulant tous les bien-pensants aux tons amers
Elle apporte la vie, conjure les malheurs.
En contant son histoire, elle est comme une sœur
Qui donne de son sang et qui bat dans mon cœur
Qui pardonne les horreurs et qui me console.
Je la voudrais libre de fouler tous les sols.
Partout elle serait cet oiseau de liberté
Messagère d’ un vent nouveau d’ humanité.
bottom of page