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La peur quotidienne de l’emprise
Emballe le cœur de la soumise.
Dans le clair-obscur des jours sans fin
Le cri foudroie et puis s’éteint.
Les yeux révèlent l’effroi
Devant le chien qui aboie.
Les murs sont décidément épais
Quand reviendra le mois de mai ?
La femme pleure dans son lit souillé.
Les portes sont toutes fermées.
C’est une douleur infinie
Qui s’évanouit dans la nuit.
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